Avec sa sensibilité de romancier, d'algérien ayant eu à vivre les déchirures de son pays (où il a choisit de séjourner à nouveau), Amin Zaoui évoque ce culte, cette culture du sang qui hante le monde arabe, que ce soit le sang des menstrues, le sang du sacrifice, le sang qu'on répand pour purifier. Il nous dit ainsi quelles violences résultent de cette culture.
Source: Bulletin du Serpent à Plumes août-septembre-octobre-novembre