Raison de la difficile percée de ce genre d'édition : le français reste la langue officielle dans l'administration et dans l'enseignement au Sénégal, plus de 50 ans après l'indépendance.
"Soucieux" de faire émerger des talents dans tous les genres littéraires et une presse digne de ce nom en langues nationales, ce Sénégalais de 59 ans, disciple de l'égyptologue sénégalais Cheikh Anta Diop, a fondé en 1996 sa maison d'édition et l'a installée dans sa propre concession située à Guédiawaye (banlieue de Dakar) (...)
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