Premier album // Sortie le 3 novembre 2008
Oubliez Asa ou Ayo. Après de nombreux concerts, Melissa Laveaux sort son premier album traversé par un feeling terrassant. Le premier single est une reprise d'Elliott Smith : Needle in the Hay
regardez la vidéo
http://fr.youtube.com/watch?v=dRj-6V1jPKM
Concerts :
Sept. 12 Les Francopluriels - Saint-Hilaire-de-Riez
Sept. 25 Festival des Francophonies - Limoges
Sept. 26 Festival des Francophonies - Lubersac
Sept. 27 Festival des Francophonies - Saint-Mathieu
Oct. 2 Festival des Francophonies - Eymoutiers
Oct. 3 Festival des Francophonies - Aixe-sur-Vienne
Oct. 4 Festival des Francophonies - Saint-Vaury
Oct. 8 Factory La Cigale - Paris avec David Walters
Oct. 11 EMB - Sannois
Oct. 29 Festival Les Primeurs - Massy
Nov. 20 Le Pédiluve - Châtenay-Malabry
Dec. 2 Le Sirius - Lyon
Dec. 5 Le Grenier à Sons - Cavaillon
Dec. 18 La Boule Noire - Paris
Jan. 30 L'Argo'Notes - Montreuil
Mars 3 Le Printemps de la Chanson - La Ferté Macé
NO FORMAT
En perdant le chèque pour payer ses cours de piano, la toute jeune Mélissa Laveaux s'est forgée un destin. Elle apprendra la musique en autodidacte. A l'oreille et dans les livres. Heureusement, sa mère écoute de la chanson à texte et du jazz haïtien en la coiffant, et son père, musicien à ses heures, a l'idée de lui offrir une guitare d'occasion à 13 ans.
Métissée la musique de Mélissa Laveaux ? Sans doute, comment pourrait-il en être autrement ? Née à Montréal en 1985 de parents haïtiens fraîchement immigrés, elle grandit à Ottawa, Ontario, dans un univers majoritairement anglophone, et doit tenter de s'intégrer à ce nouvel environnement, sans rien abandonner pour autant de sa culture d'origine, créole et francophone.
Au carrefour de ces multiples identités, Mélissa prend très vite conscience de son "décalage" avec le monde alentour. Elle dénote. Adolescente créative, elle se réfugie dans la musique et passe son temps à préparer des mixtapes de chansons à la radio, au grand dam de ses parents, tous deux professeurs, qui la rêvent médecin. Elle découvre pêle-mêle, et dans une sorte de boulimie, le folk indépendant canadien (Joni Mitchell, Feist), le trip hop britannique (Martina Topley-Bird), la musique brésilienne alternative (Adriana Calcanhotto, Os Mutantes), les stars du hip hop et de la nu-soul (Erikah Badu, Common, The Roots, The Fugees…), les grandes voix de la tradition afro-américaine (Billie Holiday, Nina Simone, Aretha Franklin) et les étoiles lointaines de la World Music (Rokia Traoré, Lhasa…).