Symbole et militant de l'indépendance malienne dans les années soixante, ses titres accompagneront longtemps les matins radiophoniques de Bamako dont Mali twist et Kayeba.
Oublié dans les années soixante dix, il est redécouvert dans les années quatre vingt et quatre vingt dix. Aujourd'hui, avec la sérénité d'un grand sage, Kar Kar chante son histoire et porte en lui toute la profondeur, la mélancolie et la beauté du blues africain.
Samedi 17 mars à 20h30 / tarifs : 10€ / 8€ / 5€ /Réservations : 01 48 66 94 60